97% des catholiques ne mettent plus les pieds dans leur Eglise, ou bien rarement.
Un grand nombre disent « Dieu, Oui, mais l’Eglise NON !«
Quel contraste entre le dévouement sans bornes de la très grande majorité de nos prêtres et l’état de la chrétienté en France !
Des prêtres dont le nombre a dramatiquement chuté. Dans une décennie, il y en aura moins de 2 500 pour toute le France (il y en avait 50 000 dans ma jeunesse durant la décennie 50).
Une seule chose est certaine : Ce n’est pas en restant assis qu’on rebâtira, mais en retroussant nos manches. Ce n’est pas, non plus, en en restant à ce que nous avons toujours fait depuis 60 ans.
Comment rebâtir une Eglise plus attractive dans le respect de la doctrine et des fonctions ? Comment retrouver le dynamisme et la joie contagieuse des premiers chrétiens ?
Un livre : une méthode et des questions à creuser
Et un exposé introductif en deux parties
Première partie :
D’abord COMPRENDRE les causes de départ : Bien sûr pour certains, l’aspiration par la facilité, le relativisme, l’hédonisme. Mais pour beaucoup, d’autres causes… Les abus sexuels sont loin d’être la seule cause de rejet ! Et c’est sur ces causes qu’il va falloir travailler pour, au minimum, arrêter l’hémorragie, mais aussi « donner envie » de revenir.
Seconde partie :
Ensuite, rebâtir en partant non d’idées toutes sujettes à caution mais des causes de départ. Quelle que soit notre fonction dans le peuple des baptisés, membres de la hiérarchie, clercs, mais aussi NOUS aussi les LAICS, il nous faut « questionner toutes les questions » jusqu’aux racines : le sens de la responsabilité des baptisés, leur formation, l’entrainement à l’évangélisation, la participation aux réflexions sociétales dans un monde qui change à toute vitesse, et l’investissement dans l’élaboration de la pastorale et jusque dans sa concrétisation… Car Jésus-Christ a confié son Eglise et sa mission à TOUT son peuple.
Ce n’était qu’une introduction.
Si vous êtes prêt à relever vos manches, il vous faut dorénavant approfondir sur le livre, crayon et surligneur en mains. Pour découvrir la forêt vierge, on peut la survoler en avion. Mais pour la connaître, rien ne vaut la dure marche dans la jungle avec une machette, où chaque pas doit être réfléchi…
Comme pour un arbre malade qu’on veut sauver, TOUT Inspecter pour traiter avec ténacité et douceur. Il n’y a pas de solutions toute faites. A chacun de les construire dans son contexte, en fonction de ses charismes et des problèmes locaux. Il ne s’agit pas de remettre en cause ce qui marche, mais de recenser les carences et les défaillances pour leur apporter une réponse concrète.
L’auteur autorise l’utilisation des deux visio-conférences pour les réunions publiques. Vous pouvez aussi obtenir le diaporama non commenté et l’image de l’arbre gratuitement en lui écrivant.
Vous pouvez surtout organiser des conférences/débats dans votre paroisse ou votre communauté sur le thème : « Comment rendre l’Eglise plus attractive ? Comment arrêter l’hémorragie, stimuler les endormis, donner envie de revenir ? «
Prévoyez un total de deux heures : après un retard de 10 minutes, une introduction très courte par l’organisateur et un prêtre avec une courte invocation à l’Esprit Saint. Puis un premier exposé de 30 minutes, suivi d’un débat de 30 minutes. Ensuite, un dernier exposé de 30 minutes.
Le débat (par petits groupes de 6 à 8) se fait autour du dessin de l’arbre (ci-dessus) avec la question : « pour vous quelle est la cause la plus urgente parmi celles pour lesquelles on peut construire des réalisations concrètes dans votre contexte ?« . Au terme, un représentant de chaque groupe lit et commente en quelques mots le choix de son groupe.
Chaque fois, tous les participants repartent vivifiés. Certains – qui jusque là se contentaient de critiquer – décident de s’investir personnellement. Tous ont trouvé une méthode de travail et de nombreuses questions à creuser individuellement et collectivement.
Homélies - Conseils pour une Parole Heureuse 